▌millie & banker

© Herjuliwiii & Mem0rial_FoX.

«  P*tain de temps à merde... »

Nuit complètement noir, nuit où les chats ne sont pas que gris. Heure où il n'est pas bon de trainer, quand vous êtes un jeune femme. Il fessait froid, terriblement froid. Il n'était pourtant pas très tard dans la soirée mais il fessait froid. Le temps n'était très clément même si le mois d'août avez t'était plus que super. Comment vouliez vous que les jeunes gens de Jacksonville, comme moi, puissant sortir par un temps pareil? Mais j'avais pris mon courage à deux mains et j'avais affrontée, comme une grande fille, le dérèglement climatique de ce début septembre. Voilà que maintenant, il se mettait à pleuvoir. J'avais de la veine, non? Non, et bien tant pis. On m'attendait à l'opposé d'où j'étais et aucun bus à l'horizon. Heureusement pour moi, que je ne me suis pas habiller en mini-jupe et pull ultra court comme toute les filles d'aujourd'hui. Bref, je ne vais pas passer en revue se que je porte actuellement. Pour vous, qui ne pouvais me voir je vais en faire la description. J'avais hésiter ce matin même entre un jean taille bas – donc j'étais fan – ou un simple pantalon de toile. Le choix avait était rapide, j'avais ensuite enfiler une de ses tee-shirt moulant blanc abordant le logo de mon lycée : GO PANTHERS. Je n'avais pas honte de le porté, loin de la car j'étais une supporteur de notre équipe de football américain. Une Cheerlearders ? Oh, que non. Cette idée avait flotté dans ma tête lors de ma première année ici, mais je n'avais pas passer les sélections donc au lieux d'être sur le terrain, j'étais bien installée sur le gradin... Mais la n'ai pas le sujet de notre conversation, mes vêtements... J'avais changée ce haut maintenant pour un similaire mais avec le nom de mon groupe préféré de rock et par dessus ça, j'avais enfiler mon blouson de cuire. Accrocs cent pour cent, à ma tenue de moto mais malheureusement pas de moto ce soit. Alors pourquoi sortais-je ? Vous êtes bien curieux. J'allais rejoindre un ami – devrais-je dire cela pour parler de notre relation un peu particulière ? Non, nous avions une amitié amélioré. Oui, vous avez bien compris. Nous ne fessons pas que discuter quand nous nous retrouvons...

«  Mademoiselle, je vous dépose ? »
«  Oh... Heu... Oui, bien sur. Vous allez dans le centre de Jacksonville? »
« Bien sur, grimpez. »
« Merci... »

Enfin... J'avais une chance pas possible ou avait-il quelque chose en tête? Je ne le serais jamais car je fus enfin devant la demeure de mon ami. Une belle bâtisse, et oui, Banker avait les moyens de se payer tout ça – du moins ses parents. Ma maison fessait pitié à côté de la sienne. Je monta une à une, les marches du perron et appuya sur le bouton de la petite sonnette incrusté dans le crépie claire de la maison. J'attendis, mais aucun signe de vie. Je retenta de nouveau mon coup et j'entendis enfin du mouvement dans la pièce derrière la porte.

« Banker, c'est Millie... »

« La pauvre Millie, je l'ai invité a venir par ce temps ... Vraiment ... Bon je vais préparer à boire. »


Banker, ce beau footballer des Panthers se déplaçait lentement dans la luxueuse maison qui lui avait offert ses parents. Pour quelles raisons ? C'est simple : ses 16 ans et sa brillante saison avec les Panthers. Il arrivé vers une porte. Sa maison était très belle, les couleurs principales était le noir et le blanc. Les murs étaient blancs et les accessoires était noir. Il ouvrit la porte noir et descendit une volée de marche. Il se trouvait dans la cave. Dans cette cave, il y avait différents boissons alcoolisés. Banker ce dirigea vers une étagère au fond à gauche. Il observa quelques bouteilles et en choisis deux : une bouteille de Manzana, de la liqueur de pomme et une bouteille de Malibu, du Rhum à la noix-de-coco. Il remonta les escaliers et sortit de la cave. Il se dirigea vers la cuisine et mit les bouteilles dans un gros frigo noir. Il regarda en suite ce qu'il portait et ... c'était moche ! Il se dirigea vers l'escalier principale qui montait aux chambres. Il se dirigea vers la première chambre, qui était la sienne. Il entra et se dirigea vers une pièce, au fond à droite. C'était la salle de bain. Il se déshabilla et se mit sous l'eau. Il se lava et sortit. Il se sécha et alla se brosser les dents. Quand il eut finit de se brosser les dents, il entendit la sonnette ! Il pris sa serviette et la mis autour de sa taille. Il descendit les marches quatre à quatre et se dirigea vers la porte.


« Banker, c'est Millie... »


Banker ouvrit la porte et laissa entrer la belle et jeune femme. Il lui sourit. Même si il coucher souvent ensemble, il était un peu gêner ...


« Salut Millie. Désolé de ma tenue, je vais aller m'habiller. »

« Salut Millie. Désolé de ma tenue, je vais aller m'habiller. »
«  Pas grave pour la tenue, tu sais très bien qu'as un moment donner tu ne portera plus rien... Si c'est comme les autres fois... »

Comment je connaissais Banker? Une histoire vielle comme le monde, j'aurais dit. Il fallait remonté deux ans auparavant, il pleuvait, je m'en souviendrais toujours. On venait déménageait à Jacksonville. J'étais assez nostalgique de ma petite ville de Londres, pourquoi j'avais suivie le mouvement? J'étais déjà mineur et financièrement parlant, mes parents ne pouvais pas m'acheter ou louer un studio à Londres en plus de leur achat immobilier à Jacksonville. J'ai déteste cette ville, les trois premiers mois. J'avais le plus grand mal à m'adapter et mon envie de substances illicites était de plus en plus importante. Mes parents l'avaient bien compris depuis le jour où j'avais fait cette foutue overdose – en grande partie, un des faits qui nous a fait déménagés. Bref, durant le mois de Décembre de ma première année ici, j'ai en quelques sorte fait bar sur bar, pub sur pub mais ce soir là, fut assez étrange. J'avais complètement oublier mon argent à la maison et je devais absolument boire un verre. Il était là, assis avec d'autre ami – footballeur appartement – et avait l'air de s'ennuyer un peu, il avait eu l'air de comprendre mon erreur, car il s'approcha de moi et me proposa un verre. Les heures passèrent et nous étions installés, avec plusieurs verres vides devant nous, à parler et à parler. On se revit plusieurs fois avant de comprendre qu'on auraient une amitié améliorée. Je l'attirais et l'inverse était assez évidente. Ce soir était un de ce autre soir où nous nous fessions plaisirs...

«  Je peux entre et me servir un verre? »